Quête Epique - La reprise du Mont Venteux

Quête Epique - La reprise du Mont Venteux

Nous étions quatre, deux hobbits  accompagnés de deux nains.  Sieur Onstock, Maitre Hundoin ainsi que Maitre Kogndurr et moi-même.
Nous nous donnâmes rendez vous à la cantine de Bree, notre endroit de rassemblement habituel.
Une fois tout les Petits-Pas arrivés, nous partîmes en direction des Terres Solitaires puis du Mont Venteux.



Arrivés au pied de cette immense colline, nous vîmes un homme assis au coin d’un feu.  Il se nommait Candaith.
Il nous interpella et nous expliqua qu’il avait besoin d’aide … Le Mont Venteux était sous domination gobelinoïde.
Nous nous regardâmes, nous étions tous d’accords. Maitre Onstock, fit un signe de tête à Candaith.
« Merci » Dit-il.



Nous nous mîmes en route. Le combat fut rude, mais nous étions entrainés et organisés.
Les hobbits se faufilaient discrètement derrière les ennemis et portaient les premiers coups, Puis les gardiens arrivaient et finissaient de les achever.



Arrivés en haut du Mont, nous nous préparâmes à l’ultime affrontement.



Quatre Petits-Pas contre une dizaine de créatures toutes races confondues.
Nous nous serrâmes les coudes et tous ensemble, nous arrivâmes à éliminer tous les monstres.
Le Mont Venteux était libéré …
Les Petits-Pas étaient fiers, très fiers du travail qu’ils venaient d’accomplir.
Ils rentrèrent sur Ost Guruth et vidèrent leur besace.

Nous partîmes rendre visite à Radagast le Brun.



Puis Sieur Onstock joua une petite, mais joviale, mélodie, le temps de boire une chope pour certains ou de danser pour d’autres.
Il se faisait tard, nous étions fatigués et couverts de sang.
Nous nous dîmes au-revoir et nous partîmes chacun de notre côté, fiers du travail accompli.

Et un bonus car avant de demander de l'aide à la confrérie, Maitre Onstock et moi-même avions déjà fait quelques vaines tentatives... *rire*


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Ce qu'il faut bien dire, c'est qu'après avoir descendu quelques chopines à la Cantine de Bree, nous avions tendance à voir la vie en rose...

                

Et que lorsque notre jolie damoiselle se fit attendre ( toute princesse cultive l'art de se faire désirer ), nous patientâmes en musique avec un pas de danse.



Nos rires se figèrent cependant quelque peu devant les têtes de ceux qui nous attendaient...



Il y a toujours quelque part une part de rêve...


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